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Les bons et les mauvais côtés des classes préparatoires |
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On les appelle la "filière d'excellence". Ces deux années d'études après le bac
permettent de décrocher une entrée dans les plus prestigieuses des écoles d'ingénieurs et de
commerce. Ce prestige a un prix: la sélection.
Les élèves inscrits dans une classe préparatoire scientifique, commerciale ou
littéraire sont à peine plus de 70 000. Une goutte d'eau comparés aux quelques 2 millions
d'étudiants de l'enseignement supérieur. Sélection à l'entrée mais aussi, parfois, sélection
en cours d'année, et beaucoup plus souvent en fin d'année: pas question qu'un "mauvais élève"
vienne faire dégringoler les résultats de la prépa. Conséquences, un rythme de travail
soutenu, ou les colles (interrogations orales), concours blancs et autres tests viennent
s'ajouter à une trentaine d'heures de cours hebdomadaires au minimum, sans compter le travail
personnel.
A la grande différence de l'université, les étudiants des classes prépa sont
nettement mieux entourés et les effectifs peu nombreux. Par contre, le choc est souvent rude
après la terminale, tant le rythme et la masse de travail changent et l' esprit de
compétition règne. La différence se fait bien souvent sur le moral et la motivation.
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